L’autre jour, en prenant mon bain de foule hebdomadaire chez Freep’star, j’ai trouvé cette jupette à 15 €. Entre l’étiquette du prix et celle de la marque mon sang n’a fait qu’un tour, et j’ai embarqué l’objet du délit, au nez et à la barbe de quelques japonaises énervées mais néanmoins moins rapides.
Et quand je parle de délit, je pense être en plein dans le sujet. Outre que cette jupe n’est pas vraiment mon style (mais ça ça peut toujours s’arranger au gré des interprétations), j’ai l’intuition d’avoir embarqué une chouette fausseté de chez jtefélamèmeenmoincher.
N’ayant aucune expérience en la matière et ne possédant aucun vêtement de chez Dior, je m’adresse à celles d’entre vous qui pourraient m’aider à trouver la réponse à la question titre de ce billet.
Concernant la matière justement, elle est coupée dans un tissu me faisant penser à de l’Alcantara (très en vogue dans les années 70, on en faisait de très cholis manteaux que de loin on aurait vraiment dit du daim, mais on le retrouvait également recouvrant de non moins cholis fauteuils et canapés, c’est dire…).
La facture est plutôt soignée mais là encore, n’ayant aucun vêtement de la marque pour comparer, ça ne m’avance pas beaucoup.
Alors, si à la vue de ces quelques clichés d’étiquettes, boutons, doublure, coutures et autre fermeture éclair, certaines pensent pouvoir m’éclairer, je suis preneuse.
So ?
Suis-je une dangereuse criminelle qui porte de la contrefaçon ?
Dois je aller y mettre le feu en public pour attester de ma bonne foi ?
Ou bien ai-je simplement récupéré un rogaton de la marque ?
Merci de votre aide sur ce palpitant dossier.